Milieu chaud et humide Milieu plus difficile car il est impossible d’évacuer la chaleur par l’évaporation de la sueur. Au delà d’un taux d’humidité > 70 %, il est impossible et dangereux de faire du sport. Le foie est très sensible et le risque majeur est lié aux insuffisantes hépatiques pouvant mettre en jeu le pronostic vital. Altitude et froid Le froid augmente le travail du coeur et les pulsations augmentent. L’air froid et sec augmente la déshydratation. Par ailleurs la pression d’oxygène (PO2 ) diminue avec l’altitude. Il y a également une diminution entre la PO2 inspirée et la PO2 au niveau alvéolaire. Il est nécessaire de s’adapter progressivement à l’altitude. Les pulsations augmentent pendant les 3 premiers jours, ensuite il y a adaptation. Au delà de 3000 m, il est recommandé de
Milieu chaud et humide : Milieu plus difficile car il est impossible d’évacuer la chaleur par l’évaporation de la sueur. Au delà d’un taux d’humidité > 70 %, il est impossible et dangereux de faire du sport. Le foie est très sensible et le risque majeur est lié aux insuffisantes hépatiques pouvant mettre en jeu le pronostic vital. Altitude et froid : Le froid augmente le travail du coeur et les pulsations augmentent. L’air froid et sec augmente la déshydratation. Par ailleurs la pression d’oxygène (PO2 ) diminue avec l’altitude. Il y a également une diminution entre la PO2 inspirée et la PO2 au niveau alvéolaire. Il est nécessaire de s’adapter progressivement à l’altitude. Les pulsations augmentent pendant les 3 premiers jours, ensuite il y a adaptation. Au delà de 3000 m, il est recommandé de monter par palier de 400m /jour. Le mal des montagnes provoque dans les cas compliqués : Hypertension pulmonaire, oedème pulmonaire, « caillotage » au niveau des yeux notamment… Le froid peut quant à lui provoquer des troubles du rythme. Aspect peu développé, les risques en mer : Risque important : la panique et hypothermie (par expérience, c’est vrai !) la neutralité thermique en mer est à 26 °C. Ultra - endurance : Nécessite la gestion de la fatigue et de l’alimentation. A l’arrivée d’un marathon, 60% des personnes présentent des anomalies transitoires. Les anomalies sont moins fréquentes chez les personnes entraînées ( + de 67 kms par semaine ) Chez les grands sportifs, il y a fréquemment des troubles du rythme. Les troubles liés à la conduction électrique qui permet la contraction du coeur (arythmie auriculaire) conduisent à une perte de 25 % de ses capacités mais ne présentent pas une contre indication à la pratique de la course à pied. Et les artères … Les artères sont constituées de 3 couches. La couche interne, l’endothélium, est très importante : elle sécrète des hormones qui permettent de gérer la dilatation, importante lors de l’effort. Ce fonctionnement est perturbé par les plaques (plaque d’athérome) qui se déposent dans les artères. Deux risques majeurs sont liés à ces plaques : - L’obstruction des artères. Lorsqu’il s’agit des artères coronaires qui alimentent le muscle cardiaque . angine de poitrine puis infarctus. - Le détachement de la plaque qui se retrouve dans la circulation et vient obstruer la circulation (.infarctus, AVC….) A noter que seules les plaques vulnérables (par opposition aux plaques stables qui présentent une chape fibreuse) sont à l’origine de ce problème. Elles sont caractérisées par leur caractère inflammatoire. LIRE LA SUITE