Chers camarades coureurs et coureuses, en résumé voici comment mon marathon s’est déroulé; Tout d’abord quelques chiffres : 0 -> 5 km : 24’47’’ soit 12,1 km/h 5 -> 10 km : 24’47’’, soit 12,1 km/h 0 -> semi : 1h 46’, soit 12 km/h Semi -> 25 km : 11,2 km/h 30 km -> 35 km : 10,9 km/h 35 km -> 42,2 km (la délivrance!): 10,2 km/h!!! Mon marathon peut se décomposer en trois étapes majeures : 1/l’euphorie : je pars, j’ai mal au genou gauche (ça fait 2 semaines donc j’espère simplement qu’il tiendra !). Physiquement mise à part mon genou, ça va super bien, je cours sans voir mon lièvre, mais je sens bien que je suis un peu rapide. Après 5 bornes alors que mon impression se confirme par le chronomètre, presque 3 minutes d’avance, je vois se rapprocher devant moi un fanion que je n’arrive à lire. Merde c’est celui de 3h30. Comme ça va je continue mais le doute s’installe. Après la deuxième pause pour évacuer le trop plein de café du matin (je sais que c’est une erreur !) j’ai un peu plus de mal à le rattraper. 2/la retour sur terre : le ballon 3h30 reste en ligne de mire jusqu’au 30ième pas très loin devant (300 m max) mais reste injoignable. C’est à ce moment que je me suis dit « allonge fainéant, allonge » mais ce que la tête veut le genou ne veut pas forcement, ni même les cuisses ! durant cette étape, je contrôle encore un peu les choses mais j’ai bien compris que la fin serait pénible. 3/la descente aux enfers : vers le 35ième la fin est proche, dans tous les sens du terme ! le genou est devenu indolore (au moins un point positif), les cuisses sont en bois (inpossible d’allonger la foulée) mais la fin est proche. Bilan et conclusion : 1/ ne pas faire le « Marseille-Cassis » 2 semaines avant ; les 10 bornes de descente sont responsables de mon mal de genou. 2/si l’entraineur donne un planning d’entrainement suit le !3/si les camarades marathoniens te disent de courir à ton rythme et pas au dessus : écoute les !Vous aurez bien compris que je serais absent cette semaine aux entrainements même si dès aujourd'hui cela va mieux,amicalementLudovic PS: bientôt des photos de mon arrivée ou toute la détresse se lit sur un sourire crispé!
REVIVEZ LE MARATHON DE NICE CANNES DE LUDOVIC

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